Nous continuons l’étude le la lettre de Paul à l’Église de Colosses ce mercredi 5 mars à 20h.
Soyez reconnaissants. Que la parole du Christ habite en vous avec sa richesse, instruisez-vous et avertissez-vous réciproquement, en toute sagesse, par des psaumes, des hymnes, des cantiques spirituels ; sous (l’inspiration de) la grâce, chantez à Dieu de tout votre cœur. Quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant grâces par lui à Dieu le Père.
L’une des originalités du Nouveau Testament est qu’il ne précise pas vraiment un formalisme pour le culte. Notre texte de ce soir est l’un des plus précis dans ce domaine… et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il laisse une grande liberté ! Malgré tout, il donne des éléments qu’il nous est utile d’étudier (même s’ils ne sont pas exhaustifs). À noter qu’il fait déborder le culte hors du cadre de rencontres formelles… sur toute la vie des chrétiens !
Nous sommes dans la partie très pratique de la lettre de Paul aux Colossiens. Nous découvrons les conséquences pratiques de la suprématie de Christ dans beaucoup de domaines de notre vie : la sexualité, l’usage de la parole, les relations inter-personnelles, le culte, la famille, le travail, le témoignage chrétien dans le monde.
Mercredi 5 mars 20h.
Repas possible à 19h (P.A.F. 2€).
Accès piéton, accès parking, contact : suivez ce lien.
Nous continuons l’étude le la lettre de Paul à l’Église de Colosses ce mercredi 19 février à 20h.
Ainsi donc, comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtez-vous d’ardente compassion, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience. Supportez-vous les uns les autres et faites-vous grâce réciproquement ; si quelqu’un a à se plaindre d’un autre, comme le Christ vous a fait grâce, vous aussi, faites de même. Mais par-dessus tout, revêtez-vous de l’amour qui est le lien de la perfection. Que la paix du Christ, à laquelle vous avez été appelés pour former un seul corps, règne dans vos cœurs.
Après la mort et la résurrection que nous avons vécues avec Christ, nous nous trouvons en quelque sorte dans une nouvelle humanité, dans laquelle notre manière de nous traiter les uns les autres doit être réformée.
Nous sommes dans la partie très pratique de la lettre de Paul aux Colossiens. Nous découvrons les conséquences pratiques de la suprématie de Christ dans beaucoup de domaines de notre vie : la sexualité, l’usage de la parole, les relations inter-personnelles, le culte, la famille, le travail, le témoignage chrétien dans le monde.
Mercredi 19 février 20h.
Repas possible à 19h (P.A.F. 2€).
Accès piéton, accès parking, contact : suivez ce lien.
Nous continuons l’étude le la lettre de Paul à l’Église de Colosses ce mercredi 12 février à 20h.
Mais maintenant, vous aussi, rejetez tout cela : colère, animosité, méchanceté, calomnie, paroles grossières qui sortiraient de votre bouche. Ne mentez pas les uns aux autres, vous qui avez dépouillé la vieille nature avec ses pratiques et revêtu la nature nouvelle qui se renouvelle en vue d’une pleine connaissance selon l’image de celui qui l’a créée. Il n’y a là ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre ; mais Christ est tout et en tous.
Après la mort et la résurrection que nous avons vécues avec Christ, nous nous trouvons en quelque sorte dans une nouvelle humanité, où les frontières habituelles que les hommes placent tombent. Ces nouvelles relations doivent se manifester dans notre manière de parler.
Nous sommes dans la partie très pratique de la lettre de Paul aux Colossiens. Nous découvrons les conséquences pratiques de la suprématie de Christ dans beaucoup de domaines de notre vie : la sexualité, l’usage de la parole, les relations inter-personnelles, le culte, la famille, le travail, le témoignage chrétien dans le monde.
Un récit et sujet de prière en rapport avec ce thème, en suivant ce lien.
Mercredi 12 février 20h.
Repas possible à 19h (P.A.F. 2€).
Accès piéton, accès parking, contact : suivez ce lien.
Reblog de Dialogues Veritas à Besançon : Se repenser, c’est, littéralement, se repentir (« dépasser sa pensée ») et c’est précisément ce que les ressources disponibles sur ce site visent à faciliter : un demi-tour d’opinion, ou un second départ.
Pour se repentir, il faut passer du faux au vrai, c’est-à-dire envisager qu’on soit dans le faux et qu’il y ait quelque chose de vrai ailleurs. En l’occurrence, qu’il y ait du vrai dans la Bible. C’est le minimum nécessaire d’ouverture d’esprit pour cette entreprise, si ce n’est pas ton cas, passe ton chemin.
Le meilleur moyen d’évaluer la vérité d’un système de croyance, c’est d’en rechercher la cohérence interne, et de le faire avec un postulat de sympathie et une présomption d’innocence envers ses auteurs. C’est ce qui évitera de s’arrêter aux premières difficultés et de sauter sur des conclusions hâtives (qui rejoignent en fait souvent les idées reçues).
C’est pourquoi Repensez-vous, site de l’un des orateurs du Dialogue Veritas, présente dans divers articles une défense raisonnable de la foi chrétienne et une critique des incohérences intrinsèques aux autres visions du monde religieuses ou philosophiques. La thèse que défendue est que la perspective biblique est la seule tenable.
Toute cette démarche relève de cette science au nom barbare qu’est l’Apologétique, et plus particulièrement de la tradition réformée, suivant l’approche de Cornelius Van Til, dite « présuppositionnaliste » (c’est-à-dire qui s’intéresse aux présupposés, croyances fondamentales qui conditionnent et dominent notre activité mentale et cognitive).