Si je pouvais écrire une lettre à tous les étudiants qui débarquent à la fac au début de leur cursus, en tous cas, à ceux qui ne veulent pas gâcher leur temps d’étude, voila six choses que j’aimerais leur dire avant qu’ils n’emménagent sur le campus.
Cette déclaration d’intention est extraite de cet article (en anglais) de Sammy Rhodes. Si tu es étudiant, ça donne envie de le lire non ? Lis cet article :
parce que c’est une bonne idée de réfléchir comment tu pourrais ne pas gâcher tes années d’études
parce qu’en septembre, tu as encore le temps de réfléchir à tout ça, avant d’avoir le nez dans le guidon
parce qu’en septembre, tu as oublié tout ton anglais, et il est temps de le réactiver
Que faire avec un cœur brisé ? Je ne parle pas d’une histoire de cœur, mais du cœur brisé que nous possédons tous, celui qui a été brisé par la chute. Ce cœur brisé qui a conduit David à séduire la fille la plus sexy du campus. Ce cœur brisé qui a empêché Pierre de manger à la table des « boulets » (Galates 2.11-12). Ce cœur brisé qui nous pousse à préférer plus ou moins tout à Jésus.
La traduction de cet extrait te donne une idée du post original de Sammy Rhodes (en anglais), qui s’intéresse à ce qu’est d’être un chrétien sur le campus. Si tu es concerné, lis cet article ! Et voici trois autres raisons de le lire :
Septembre, synonyme de rentrée, est le bon moment pour se poser des questions fondamentales sur son identité en tant qu’étudiant.
Septembre, comme n’importe quel moment, est le bon moment pour se poser des questions fondamentales sur son identité en tant que chrétien.
Septembre, après 3 mois de repos, est le bon moment pour réactiver son anglais.
La Bible entière invite à placer sa confiance en Dieu, indépendamment des circonstances. Et c’est vrai que Dieu est digne de confiance, qu’être en lui est notre plus grand bien, quelle que soit notre situation par ailleurs.
Pourtant, des fois, on a l’impression que la confiance en Dieu demande un effort trop grand. Notre foi est-elle trop faible ?
Ce post de Jonathan Parnell s’intéresse à cette question. La traduction d’un extrait :
Parfois, le poids de nos épreuves est si lourd que nous avons l’impression de ne plus pouvoir garder la tête hors de l’eau. La douleur est si virulente, le malaise si épais, que nous ne pouvons pas imaginer que notre situation puisse s’améliorer. La guérison nous semble impossible, l’espoir définitivement envolé. Et même si nous essayons d’espérer, la douleur devient plus aiguë. Autant ne pas prier. Surtout ne pas réfléchir, pour ne pas être assailli par ces ruines et cette obscurité.