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Une religion vraie et humble

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ? Non, disait-il ensuite, déclarant qu’il était en fait lui-même l’accomplissement de l’Ancien Testament. Jésus a donc revisité l’Ancien Testament, pour dénoncer les interprétations erronées des hommes, et montrer à quel point les attentes de Dieu sont plus grandes que ce nous pouvons imaginer, concernant la maîtrise des pensées, l’importance de la parole donnée et l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal.

Il s’attaque maintenant à la manière de « pratiquer la religion », en montrant qu’il peut y avoir une bonne et une mauvaise manière de pratiquer l’aumône, la prière et le jeûne. Nous nous limitons ce soir à l’aumône et au jeûne :

Gardez-vous de pratiquer votre justice devant les hommes, pour en être vus, autrement vous n’aurez pas de récompense auprès de votre Père qui est dans les cieux. Quand donc tu fais l’aumône, ne sonne pas de la trompette devant toi, comme font les hypocrites dans les synagogues et dans les rues, afin d’être glorifiés par les hommes. En vérité je vous le dis, ils ont reçu leur récompense. Mais quand tu fais l’aumône, que ta (main) gauche ne sache pas ce que fait ta (main) droite, afin que ton aumône se fasse en secret, et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. […]

Lorsque vous jeûnez, ne prenez pas un air triste, comme les hypocrites ; ils se rendent le visage tout défait pour montrer aux hommes qu’ils jeûnent. En vérité je vous le dis, ils ont reçu leur récompense. Mais toi quand tu jeûnes, parfume ta tête et lave ton visage, afin de ne pas montrer aux hommes que tu jeûnes, mais à ton Père qui est là dans le (lieu) secret, et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.

Rendez-vous à 20h le mercredi 13 janvier 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ces textes de l’Évangile de Matthieu, chapitre 6, versets 1 à 4 et 16 à 18 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !

Les chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ? Non, disait-il ensuite, déclarant qu’il était en fait lui-même l’accomplissement de l’Ancien Testament.

Jésus en vient maintenant à revisiter l’Ancien Testament, pour dénoncer les interprétations erronées des hommes, et montrer à quel point les attentes de Dieu sont plus grandes que ce nous pouvons imaginer. Nous avons déjà vu que Jésus s’intéressait à la maîtrise des pensées et estimait que toute parole engageait celui qui la prononçait. Maintenant, voyons ce qu’il dit de l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal :

Vous avez entendu qu’il a été dit : Œil pour œil, et dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, tends-lui aussi l’autre. Si quelqu’un veut te traîner en justice, et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si quelqu’un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi. Vous avez entendu qu’il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent. Alors vous serez fils de votre Père qui est dans les cieux, car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. En effet, si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense aurez-vous ? Les péagers aussi n’en font-ils pas autant ? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens aussi, eux-mêmes, n’en font-ils pas autant ? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait.

Rendez-vous à 20h le mercredi 6 janvier 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ce texte de l’Évangile de Matthieu, chapitre 5, versets 38 à 48 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !

Les chrétiens et leur parole

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ? Non, disait-il ensuite, déclarant qu’il était en fait lui-même l’accomplissement de l’Ancien Testament.

Jésus en vient maintenant à revisiter l’Ancien Testament, pour dénoncer les interprétations erronées des hommes, et montrer à quel point les attentes de Dieu sont plus grandes que ce nous pouvons imaginer. Nous avons déjà vu que Jésus s’intéressait à la maîtrise des pensées. Les déclarations suivantes se concentreront sur la valeur de la parole donnée par un chrétien, concernant le mariage et les affaires courantes de la vie :

Il a été dit : Que celui qui répudie sa femme lui donne une lettre de divorce. Mais moi, je vous dis : Quiconque répudie sa femme, sauf pour cause d’infidélité, l’expose à devenir adultère, et celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère. Vous avez encore entendu qu’il a été dit aux anciens : Tu ne te parjureras pas mais tu t’acquitteras envers le Seigneur de tes serments. Mais moi, je vous dis de ne pas jurer : ni par le ciel, parce que c’est le trône de Dieu, ni par la terre, parce que c’est son marchepied, ni par Jérusalem, parce que c’est la ville du grand roi. Ne jure pas non plus par ta tête, car tu ne peux rendre blanc ou noir un seul cheveu. Que votre parole soit oui, oui ; non, non ; ce qu’on y ajoute vient du malin.

Rendez-vous à 20h le mercredi 2 décembre 2015 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ce texte de l’Évangile de Matthieu, chapitre 5, versets 31 à 37 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !

Les chrétiens et leurs pensées

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ? Non, disait-il ensuite, déclarant qu’il était en fait lui-même l’accomplissement de l’Ancien Testament.

Jésus en vient maintenant à revisiter l’Ancien Testament, pour dénoncer les interprétations erronées des hommes, et montrer à quel point les attentes de Dieu sont plus grandes que ce nous pouvons imaginer. Nous commençons avec les deux premières déclarations de Jésus, sur le meurtre et l’adultère.

Vous avez entendu qu’il a été dit aux anciens : Tu ne commettras pas de meurtre, celui qui commet un meurtre sera passible du jugement. Mais moi, je vous dis : Quiconque se met en colère contre son frère sera passible du jugement. Celui qui dira à son frère : Raca ! sera justiciable du sanhédrin. Celui qui lui dira : Insensé ! sera passible de la géhenne du feu. Si donc tu présentes ton offrande à l’autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel, et va d’abord te réconcilier avec ton frère, puis viens présenter ton offrande. Arrange-toi promptement avec ton adversaire, pendant que tu es encore en chemin avec lui, de peur que l’adversaire ne te livre au juge, le juge au garde, et que tu ne sois mis en prison. En vérité je te le dis, tu ne sortiras point de là que tu n’aies payé jusqu’au dernier centime.

Vous avez entendu qu’il a été dit : Tu ne commettras pas d’adultère. Mais moi, je vous dis : Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son cœur. Si ton œil droit est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi. Car il est avantageux pour toi qu’un seul de tes membres périsse et que ton corps entier ne soit pas jeté dans la géhenne. Si ta main droite est pour toi une occasion de chute, coupe-la et jette-la loin de toi, car il est avantageux pour toi qu’un seul de tes membres périsse et que ton corps entier n’aille pas dans la géhenne.

Rendez-vous à 20h le mercredi 11 novembre 2015 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

On continuera l’étude le mercredi 18 novembre 2015, même lieu, mêmes horaires.

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ce texte de l’Évangile de Matthieu, chapitre 5, versets 21 à 30 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !