P.A.F. : 3€.
Mercredi 9 avril, début entre 19h et 20h, Église La Bonne Nouvelle, 13 rue Xavier Marmier, arrêt Trepillot (face au Lidl).
P.A.F. : 3€.
Mercredi 9 avril, début entre 19h et 20h, Église La Bonne Nouvelle, 13 rue Xavier Marmier, arrêt Trepillot (face au Lidl).
La traduction de l’extrait d’un post en anglais… pour vous donner envie de lire l’original en entier !
Le post original, signé David Mathis, se trouve sur le blog Desiring God, au bout de ce lien.
La koinonia — la communauté, l’équipe, la communion — que les premiers chrétiens partageaient, n’était pas une passion partagée pour la pizza, la musique, ou une soirée sympa de détente entre personnes-qui-vont-à-l’église. Cette communion, c’était le Christ qu’ils avaient en commun ; c’était leur mission commune, jusqu’à la mort si nécessaire, cette mission qu’Il leur avait confiée, de porter la foi dans le monde entier, avec la menace omniprésente de la persécution.
C’est avec raison que Tolkien a appelé les 9 la « Communauté de l’Anneau ». Il ne s’agit pas d’une bande de potes qui se retrouvent pour boire un coup et faire des jeux vidéos. C’est une entreprise collective, mettant leur vie en jeu, face à un mal terrible et une opposition qui les dépasse. La vraie communion ressemble moins à des amis qui se retrouvent pour regarder la finale de la Coupe de la Ligue, qu’à des joueurs sur le terrain, pleins de sang, de sueur, de larmes ; ils ne se réunissent sur la touche que pour préparer la prochaine offensive. La vraie communion ressemble plus aux troupes du débarquement en Normandie qu’aux foules en liesse célébrant l’armistice.
Nous continuons l’étude le la lettre de Paul à l’Église de Colosses ce mercredi 2 avril à 20h.
On connaît Paul par tous ses écrits. Mais il apparaît qu’il était entouré de toute une équipe, non négligeable, est très variée. Que peut-on apprendre de cela ?
Nous sommes dans les salutations finales de la lettre de Paul aux Colossiens. Nous avons un aperçu du fonctionnement de son travail missionnaire, et voyons qu’il existait tout un réseau de personnes qui avaient accepté que Christ ait la place suprême dans leur vie ; et sans cela Paul n’aurait pas pu avoir l’impact qu’il a eu, et peut-être que l’Église n’existerait plus aujourd’hui…
Mercredi 2 avril 20h.
Repas possible à 19h (P.A.F. 2€).
Accès piéton, accès parking, contact : suivez ce lien.
Cinq raisons pour lire cet excellent article de Jonathan Parnell :