Nous continuons l’étude le la lettre de Paul à l’Église de Colosses ce mercredi 26 mars à 20h.
Persévérez dans la prière, veillez-y avec actions de grâces. Priez également pour nous : que Dieu ouvre une porte à notre parole, afin que je puisse annoncer le mystère du Christ, pour lequel je suis dans les chaînes, et en parler clairement comme je le dois. Conduisez-vous avec sagesse envers ceux du dehors. Rachetez le temps. Que votre parole soit toujours accompagnée de grâce, assaisonnée de sel, afin que vous sachiez comment vous devez répondre à chacun. En ce qui me concerne, Tychique, le frère bien-aimé, fidèle serviteur du Seigneur, mon compagnon dans le service du Seigneur, vous mettra au courant de tout. Je vous l’envoie tout exprès, pour que vous connaissiez notre situation, et pour qu’il console vos cœurs. Je l’envoie avec le fidèle et bien-aimé frère Onésime, votre compatriote. Ils vous mettront au courant de tout ce qui se passe ici.
Un sentiment d’urgence se dégage de notre texte d’aujourd’hui. Urgence dans la prière, dans nos relations avec ceux qui ne connaissent pas Christ, et même dans la transmission d’information entre le missionnaire et l’Église qu’il ne connaît même pas personnellement. Quelle est cette urgence, et que devons-nous en retenir pour nous ?
Nous sommes dans la partie très pratique de la lettre de Paul aux Colossiens. Nous découvrons les conséquences pratiques de la suprématie de Christ dans beaucoup de domaines de notre vie : la sexualité, l’usage de la parole, les relations inter-personnelles, le culte, la famille, le travail, le témoignage chrétien dans le monde.
Mercredi 26 mars 20h.
Repas possible à 19h (P.A.F. 2€).
Accès piéton, accès parking, contact : suivez ce lien.
Nous continuons l’étude le la lettre de Paul à l’Église de Colosses ce mercredi 12 mars à 20h.
Serviteurs, obéissez en tout à vos maîtres selon la chair, et cela non seulement sous leurs yeux comme si vous cherchiez à plaire aux hommes, mais avec simplicité de cœur, dans la crainte du Seigneur. Tout ce que vous faites, faites-le de (toute) votre âme, comme pour le Seigneur, et non pour des hommes, sachant que vous recevrez du Seigneur l’héritage en récompense. Servez Christ le Seigneur. Car celui qui agit injustement récoltera selon son injustice, et il n’y a pas de considération de personnes. Maîtres, accordez à vos serviteurs ce qui est juste et équitable, sachant que, vous aussi, vous avez un Maître dans le ciel.
Nous avons sauté le texte sur la famille… parce que nous le traiterons plus tard avec une intervenante en plus !
Dans une société marquée par l’oppression et les inégalités sociales (la notre, ou celle du premier siècle ?), le Nouveau Testament ne prône ni la révolution, ni le statu-quo. Pourtant, quel impact révolutionnaire dans l’histoire… Quels sont les fondements bibliques de l’éthique du travail des chrétiens ?
Nous sommes dans la partie très pratique de la lettre de Paul aux Colossiens. Nous découvrons les conséquences pratiques de la suprématie de Christ dans beaucoup de domaines de notre vie : la sexualité, l’usage de la parole, les relations inter-personnelles, le culte, la famille, le travail, le témoignage chrétien dans le monde.
Mercredi 12 mars 20h.
Repas possible à 19h (P.A.F. 2€).
Accès piéton, accès parking, contact : suivez ce lien.
La traduction de l’extrait d’un post en anglais… pour vous donner envie de lire l’original en entier !
Le post original, signé David Mathis, se trouve sur le blog Desiring God, au bout de ce lien.
Puisque la prière fait partie intégrante de notre relation avec Dieu, Luc ne spécifie, ni où, ni quand, l’Église primitive priait. Il se contente de nous signaler : « Tous persévéraient d’un commun accord dans la prière » (Actes 1.14). Et Paul ne prescrit pas d’habitude spécifique à l’Église, il leur ordonne simplement : « Persévérez dans la prière. » (Romains 12.12), « Persévérez dans la prière, veillez-y » (Colossiens 4.2), « Priez sans cesse » (1 Thessaloniciens 5.17), « Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications. » (Éphésiens 6.18).
C’est un appel à une vie de prière ; pas à un but impersonnel, ni à une simple discipline, ni à des cases à cocher ; mais à une relation intime. Ce n’est pas basé sur une volonté humaine, fût-elle une volonté de fer, mais sur un Père divin extraordinairement attentif, qui se réjouit de donner « de bonnes choses à ceux qui les lui demandent » (Matthieu 7.11).
Il n’est pas seulement un Père qui révèle sa bonté en paroles, et « sait de quoi vous avez besoin avant que vous le lui demandiez » (Matthieu 6.8) ; il veut aussi que vous demandiez. Il veut entendre. Il veut interagir. Il tient à une relation véritable avec nous, non à une relation hypothétique.
Nous continuons l’étude le la lettre de Paul à l’Église de Colosses ce mercredi 5 mars à 20h.
Soyez reconnaissants. Que la parole du Christ habite en vous avec sa richesse, instruisez-vous et avertissez-vous réciproquement, en toute sagesse, par des psaumes, des hymnes, des cantiques spirituels ; sous (l’inspiration de) la grâce, chantez à Dieu de tout votre cœur. Quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant grâces par lui à Dieu le Père.
L’une des originalités du Nouveau Testament est qu’il ne précise pas vraiment un formalisme pour le culte. Notre texte de ce soir est l’un des plus précis dans ce domaine… et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il laisse une grande liberté ! Malgré tout, il donne des éléments qu’il nous est utile d’étudier (même s’ils ne sont pas exhaustifs). À noter qu’il fait déborder le culte hors du cadre de rencontres formelles… sur toute la vie des chrétiens !
Nous sommes dans la partie très pratique de la lettre de Paul aux Colossiens. Nous découvrons les conséquences pratiques de la suprématie de Christ dans beaucoup de domaines de notre vie : la sexualité, l’usage de la parole, les relations inter-personnelles, le culte, la famille, le travail, le témoignage chrétien dans le monde.
Mercredi 5 mars 20h.
Repas possible à 19h (P.A.F. 2€).
Accès piéton, accès parking, contact : suivez ce lien.