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Qui écouter ?

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ?

Il entre alors dans le vif du sujet : l’établissement du Royaume des cieux par Jésus est l’accomplissement de l’Ancien Testament. Et Jésus détaille tout cela, en parlant de la maîtrise des pensées, l’importance de la parole donnée et l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal. Il s’attaque ensuite à la manière de « pratiquer la religion », en montrant qu’il peut y avoir une bonne et une mauvaise manière de pratiquer l’aumône, la prière et le jeûne. Il élargit même la question en montrant que ce qui concerne la vie de tous les jours doit aussi se vivre à la lumière du Royaume des cieux. Puis il avertit des dangers de mal comprendre ce qu’il vient d’enseigner.

Nous arrivons à la conclusion du Sermon. Jésus demande de se positionner par rapport à ce qu’il vient d’enseigner, mais aussi de juger toute personne qui prétend parler de la part de Dieu, de le juger d’après les enseignements du Sermon :

Entrez par la porte étroite car large est la porte et spacieux le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte et resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui le trouvent. Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous comme des brebis, mais au-dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre produit de mauvais fruits, Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.

Rendez-vous à 20h le mercredi 16 mars 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ces textes de l’Évangile de Matthieu, chapitre 7, versets 13 à 20 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !

Les dangers du Sermon sur la Montagne

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ?

Il entre alors dans le vif du sujet : l’établissement du Royaume des cieux par Jésus est l’accomplissement de l’Ancien Testament. Et Jésus détaille tout cela, en parlant de la maîtrise des pensées, l’importance de la parole donnée et l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal. Il s’attaque ensuite à la manière de « pratiquer la religion », en montrant qu’il peut y avoir une bonne et une mauvaise manière de pratiquer l’aumône, la prière et le jeûne. Il élargit même la question en montrant que ce qui concerne la vie de tous les jours doit aussi se vivre à la lumière du Royaume des cieux.

Nous arrivons à la fin de la description du Royaume des cieux comme accomplissement de l’Ancien Testament. Et déjà, Jésus nous avertit des dangers que nous courrons en écoutant ce discours :

Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés. C’est du jugement dont vous jugez qu’on vous jugera, de la mesure dont vous mesurez qu’on vous mesurera. Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et ne remarques-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? Ou comment dis-tu à ton frère : Laisse-moi ôter la paille de ton œil, alors que dans ton œil il y a une poutre ? Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors, tu verras comment ôter la paille de l’œil de ton frère. Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu’ils ne les foulent aux pieds et ne se retournent pour vous déchirer. Demandez et l’on vous donnera, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvrira à celui qui frappe. Quel homme parmi vous donnera une pierre à son fils, s’il lui demande du pain ? Ou, s’il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ? Si donc, vous qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux en donnera-t-il de bonnes à ceux qui les lui demandent. Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, vous aussi, faites-le de même pour eux, car c’est la loi et les prophètes.

Rendez-vous à 20h le mercredi 9 mars 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ces textes de l’Évangile de Matthieu, chapitre 7, versets 1 à 12 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !

Confiance en Dieu, inquiétudes et sécurité matérielle

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ? Non, disait-il ensuite, déclarant qu’il était en fait lui-même l’accomplissement de l’Ancien Testament. Jésus a donc revisité l’Ancien Testament, pour dénoncer les interprétations erronées des hommes, et montrer à quel point les attentes de Dieu sont plus grandes que ce nous pouvons imaginer, concernant la maîtrise des pensées, l’importance de la parole donnée et l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal.

Il s’attaque ensuite à la manière de « pratiquer la religion », en montrant qu’il peut y avoir une bonne et une mauvaise manière de pratiquer l’aumône, la prière et le jeûne. Maintenant, Jésus élargit le champ en montrant que « pratiquer la religion » va au-delà des rites, mais concerne aussi les affaires courantes de cette vie : la nourriture, le vêtement, le travail, la prévoyance…

Ne vous amassez pas de trésors sur la terre, où les vers et la rouille détruisent et où les voleurs percent et dérobent, mais amassez des trésors dans le ciel, où ni les vers ni la rouille ne détruisent, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. L’œil est la lampe du corps. Si ton œil est en bon état, tout ton corps sera illuminé, mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes les ténèbres ! Nul ne peut servir deux maîtres ; car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon. C’est pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Regardez les oiseaux du ciel : Ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent rien dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une seule coudée à la durée de sa vie ? Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement ? Observez comment croissent les lis des champs : Ils ne travaillent, ni ne filent ; cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. Si Dieu revêt ainsi l’herbe des champs qui existe aujourd’hui et demain sera jetée au four, ne vous (vêtira-t-il) pas à plus forte raison, gens de peu de foi ? Ne vous inquiétez donc pas, en disant : Que mangerons-nous ? Ou : Que boirons-nous ? Ou : De quoi serons-nous vêtus ? Car cela, ce sont les païens qui le recherchent. Or votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement son royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par-dessus. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain car le lendemain s’inquiétera de lui-même. À chaque jour suffit sa peine.

Rendez-vous à 20h le mercredi 2 mars 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ces textes de l’Évangile de Matthieu, chapitre 6, versets 19 à 34 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !