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Les dangers du Sermon sur la Montagne

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ?

Il entre alors dans le vif du sujet : l’établissement du Royaume des cieux par Jésus est l’accomplissement de l’Ancien Testament. Et Jésus détaille tout cela, en parlant de la maîtrise des pensées, l’importance de la parole donnée et l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal. Il s’attaque ensuite à la manière de « pratiquer la religion », en montrant qu’il peut y avoir une bonne et une mauvaise manière de pratiquer l’aumône, la prière et le jeûne. Il élargit même la question en montrant que ce qui concerne la vie de tous les jours doit aussi se vivre à la lumière du Royaume des cieux.

Nous arrivons à la fin de la description du Royaume des cieux comme accomplissement de l’Ancien Testament. Et déjà, Jésus nous avertit des dangers que nous courrons en écoutant ce discours :

Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés. C’est du jugement dont vous jugez qu’on vous jugera, de la mesure dont vous mesurez qu’on vous mesurera. Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et ne remarques-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? Ou comment dis-tu à ton frère : Laisse-moi ôter la paille de ton œil, alors que dans ton œil il y a une poutre ? Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors, tu verras comment ôter la paille de l’œil de ton frère. Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu’ils ne les foulent aux pieds et ne se retournent pour vous déchirer. Demandez et l’on vous donnera, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvrira à celui qui frappe. Quel homme parmi vous donnera une pierre à son fils, s’il lui demande du pain ? Ou, s’il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ? Si donc, vous qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux en donnera-t-il de bonnes à ceux qui les lui demandent. Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, vous aussi, faites-le de même pour eux, car c’est la loi et les prophètes.

Rendez-vous à 20h le mercredi 9 mars 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ces textes de l’Évangile de Matthieu, chapitre 7, versets 1 à 12 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !

Confiance en Dieu, inquiétudes et sécurité matérielle

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ? Non, disait-il ensuite, déclarant qu’il était en fait lui-même l’accomplissement de l’Ancien Testament. Jésus a donc revisité l’Ancien Testament, pour dénoncer les interprétations erronées des hommes, et montrer à quel point les attentes de Dieu sont plus grandes que ce nous pouvons imaginer, concernant la maîtrise des pensées, l’importance de la parole donnée et l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal.

Il s’attaque ensuite à la manière de « pratiquer la religion », en montrant qu’il peut y avoir une bonne et une mauvaise manière de pratiquer l’aumône, la prière et le jeûne. Maintenant, Jésus élargit le champ en montrant que « pratiquer la religion » va au-delà des rites, mais concerne aussi les affaires courantes de cette vie : la nourriture, le vêtement, le travail, la prévoyance…

Ne vous amassez pas de trésors sur la terre, où les vers et la rouille détruisent et où les voleurs percent et dérobent, mais amassez des trésors dans le ciel, où ni les vers ni la rouille ne détruisent, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. L’œil est la lampe du corps. Si ton œil est en bon état, tout ton corps sera illuminé, mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes les ténèbres ! Nul ne peut servir deux maîtres ; car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon. C’est pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Regardez les oiseaux du ciel : Ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent rien dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une seule coudée à la durée de sa vie ? Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement ? Observez comment croissent les lis des champs : Ils ne travaillent, ni ne filent ; cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. Si Dieu revêt ainsi l’herbe des champs qui existe aujourd’hui et demain sera jetée au four, ne vous (vêtira-t-il) pas à plus forte raison, gens de peu de foi ? Ne vous inquiétez donc pas, en disant : Que mangerons-nous ? Ou : Que boirons-nous ? Ou : De quoi serons-nous vêtus ? Car cela, ce sont les païens qui le recherchent. Or votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement son royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par-dessus. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain car le lendemain s’inquiétera de lui-même. À chaque jour suffit sa peine.

Rendez-vous à 20h le mercredi 2 mars 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ces textes de l’Évangile de Matthieu, chapitre 6, versets 19 à 34 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !

Une vie de prière – un enfant parle à son Père

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ? Non, disait-il ensuite, déclarant qu’il était en fait lui-même l’accomplissement de l’Ancien Testament. Jésus a donc revisité l’Ancien Testament, pour dénoncer les interprétations erronées des hommes, et montrer à quel point les attentes de Dieu sont plus grandes que ce nous pouvons imaginer, concernant la maîtrise des pensées, l’importance de la parole donnée et l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal.

Il s’attaque maintenant à la manière de « pratiquer la religion », en montrant qu’il peut y avoir une bonne et une mauvaise manière de pratiquer l’aumône, la prière et le jeûne. Nous nous limitons ce soir à la prière, dans ce passage qui contient le fameux « Notre Père » :

Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et aux coins des rues, pour se montrer aux hommes. En vérité je vous le dis, ils ont reçu leur récompense. Mais toi quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte et prie ton Père qui est dans le (lieu) secret, et ton Père qui voit dans le secret te le rendra. En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés. Ne leur ressemblez pas, car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. Voici donc comment vous devez prier : Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié. Que ton règne vienne ; Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien, Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Ne nous laisse pas entrer dans la tentation, mais délivre-nous du Malin. Car c’est à toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, Le règne, la puissance et la gloire. Amen ! Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi, mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos fautes.

Rendez-vous à 20h le mercredi 27 janvier 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ces textes de l’Évangile de Matthieu, chapitre 6, versets 5 à 15 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !

Une religion vraie et humble

Après avoir appelé « heureux » ceux qui avaient un caractère transformé par Dieu dans les Béatitudes, impliquant par là que ce serait eux qui entreraient dans le Royaume de Dieu ; puis après les avoir appelés la « lumière du monde », impliquant par là que son évaluation de la piété des hommes n’était pas celle reconnue habituellement ; peut-être que Jésus savait qu’il avait provoqué un trouble : venait-il pour renverser tout l’héritage de la foi israélite, en particulier, venait-il pour nier les Écritures ? Non, disait-il ensuite, déclarant qu’il était en fait lui-même l’accomplissement de l’Ancien Testament. Jésus a donc revisité l’Ancien Testament, pour dénoncer les interprétations erronées des hommes, et montrer à quel point les attentes de Dieu sont plus grandes que ce nous pouvons imaginer, concernant la maîtrise des pensées, l’importance de la parole donnée et l’attitude des chrétiens face à ceux qui leur veulent du mal.

Il s’attaque maintenant à la manière de « pratiquer la religion », en montrant qu’il peut y avoir une bonne et une mauvaise manière de pratiquer l’aumône, la prière et le jeûne. Nous nous limitons ce soir à l’aumône et au jeûne :

Gardez-vous de pratiquer votre justice devant les hommes, pour en être vus, autrement vous n’aurez pas de récompense auprès de votre Père qui est dans les cieux. Quand donc tu fais l’aumône, ne sonne pas de la trompette devant toi, comme font les hypocrites dans les synagogues et dans les rues, afin d’être glorifiés par les hommes. En vérité je vous le dis, ils ont reçu leur récompense. Mais quand tu fais l’aumône, que ta (main) gauche ne sache pas ce que fait ta (main) droite, afin que ton aumône se fasse en secret, et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. […]

Lorsque vous jeûnez, ne prenez pas un air triste, comme les hypocrites ; ils se rendent le visage tout défait pour montrer aux hommes qu’ils jeûnent. En vérité je vous le dis, ils ont reçu leur récompense. Mais toi quand tu jeûnes, parfume ta tête et lave ton visage, afin de ne pas montrer aux hommes que tu jeûnes, mais à ton Père qui est là dans le (lieu) secret, et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.

Rendez-vous à 20h le mercredi 13 janvier 2016 au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis, pas loin de la Bouloie).

Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).

Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.

Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.

N’hésitez pas à lire et à réfléchir à ces textes de l’Évangile de Matthieu, chapitre 6, versets 1 à 4 et 16 à 18 avant de venir, les échanges n’en seront que plus riches !