Imaginez un groupe de personnes, assez disparates, dont la plupart viennent de passer de la religion grecque, avec ses idoles, ses sacrifices, ses temples, au christianisme, monothéiste, sans édifice religieux ; imaginez que les seuls qui connaissaient l’Évangile ont dû partir sous la pression de la population, sans avoir pu enseigner tout ce que Jésus avait transmis ; imaginez que ce nouveau groupe, apparemment livré à lui-même, peu au courant de ce qui concerne sa nouvelle foi, subit lui aussi des pressions de la population.
Voila, vous venez de vous représenter le groupe de personnes à qui était destinée la première lettre de Paul aux Thessaloniciens. Avant d’étudier cette lettre cette année au FEU, nous allons ce soir essayer de bien comprendre le contexte dans lequel elle a été écrite.
Rendez-vous à 20h le mercredi 24 septembre au 22 rue Paul Verlaine, Besançon (près de Temis).
Ceux qui veulent venir manger avant sont les bienvenus dès 19h (participation aux frais : 2€).
Ceux qui veulent venir prier avant sont les bienvenus dès 18h15.
Pour ceux qui ont besoin d’un transport pour venir, prévenez-nous par le formulaire de contact, ou au 06 31 73 68 45.
Retour en voiture assuré pour ceux qui en ont besoin.
Il y a des paraboles de Jésus qui sont claires. D’autres pour lesquelles il faut réfléchir un moment avant de les comprendre. La parabole du juge inique (Luc 18) en fait partie. Vous savez, celle où une veuve harcèle un juge jusqu’à ce qu’elle obtienne justice. Voici la traduction d’un extrait du post de Jonathan Parnell sur le sujet.
Le lien entre sa prière et la notre n’est pas une hypothétique ressemblance entre le juge inique et notre Dieu. Mais c’est que le bien sera donné au peuple de Dieu — même si cela doit être par le biais d’un homme mauvais. Jésus nous dit : « Entendez ce que dit le juge inique. » (Luc 18.6). Ce qui est bien nous arrivera, comme c’est arrivé pour elle — et nous n’avons pas besoin de harceler Dieu comme elle a du le faire pour le juge. La réponse à notre prière — qui nous donne raison d’avoir prié — ne sera peut-être pas exactement ce que nous aurons demandé dans les moindres détails. Mais Dieu fera la bonne chose, et quand nous prions, nous avons confiance que c’est cela qu’il fera.
Non, vous ne rêvez pas, le titre de cet article de Jon Bloom signifie bien : « Dix raisons de mémoriser de longs passages de la Bible ».
Voici les 10 raisons (mais lisez l’article en entier pour plus de détails, mais aussi pour progresser en anglais) :
Parce que vous avez une mauvaise mémoire
Parce que vous avez besoin de nourrir vos pensées
Parce que c’est trop facile d’accéder à la Bible de nos jours
Parce que vous avez internet
Parce que vous ne connaissez pas la Bible aussi bien que vous le pensez
Parce que la Parole de Dieu deviendra plus précieuse pour vous
Parce que vous verrez plus de la gloire de Dieu
Parce que ça affinera votre détecteur de mensonges
Parce que vous allez souffrir
Parce que vos frères et sœurs vont souffrir
Et comme l’an prochain, au FEU, nous allons étudier la première lettre de Paul aux Thessaloniciens… on vous lance le défi de l’apprendre par cœur d’ici la rentrée ! Allez, un verset par jour… en commençant aujourd’hui, comme il y a 99 versets, vous arriverez au bout le 9 septembre !